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Les poèmes des ados 14/16 ans

Poème envoyé par Mylène
(14 ans - 24octobre 2005)

Noirceur

À jamais endormie.
Dit-moi comme autre fois
Le son doux qu’émettais ta voix
Tel un ange sans ses ailes
Tu me chantais ton soleil.
La neige n’est plus bleu
Quand le ciel devient a eux.
Prend moi dans tes bras
Je veux m’endormir qu’une fois
Fermer ses yeux sur une vie
Ce que tous nous ferons d’une nuit.
À jamais endormie.

Quand le ciel devient gris
Où l’orage en périt
La noirceur de la peur
Celle qui enlève toute terreur
Lorsqu’elle te poursuit
Et t’apporte dans son puit.
Une entré sans sortie
Où elle y prend ta vie
Pourtant au loin une lumière
Océan n’était qu’une rivière.
Il te joue un simple tour.
Pour en mourir a ton tour.
Où tu y sera a jamais endormie.

Poème envoyé par Elodie
(15 ans - 24 août 2005)

Tu es le sang
Je suis les veines
Tu coule dans mon corps
Comme si c'était normal
Je te laisse m'envahir
En esperant que jamais
Tu ne vas partir
Je ne peux vivre sans toi
Car tu alimente mon coeur
Tu le remplis de bonheur
Mais a chaque fois que je me blesse
Il y a un peu de sang qui se deverse
Ne me quitte pas
Car sans toi
Je ne suis rien qu'un corps vide
Dépourvu de vie car tu es la mienne.

Je t'aime

Poème envoyé par Clothilde
(14 ans - 5 février 2005)

Dès que je t'ai vu,
Mon coeur s'est mi à battre plsu vite que prévu
Je ne pensais qu'a toi,
je n'entendais que toi.
On était près,
On se touchait
Mais j'ignorais
Ce que tu pensais.
La seule chose dont j'étais sur
C'est que tu ferais parti de mon futur.
Et pourtant on s'est éloigné,
et rien ne s'était passé
Sauf peut-être un souvenir lointain
Que je pleurerai chaque matin.
L'amour est un peu fou,
Le mien est éternel
Mais mon amour ne me donne pas d'ailes,
il alourdit mes peines.

Poème envoyé par Maxence
(14 ans - 24 décembre 2004)

Dans ma vie
Quelquefois je te vois
Alors mon cœur bat,
Et quand tu es loin
Je perds tous mes moyens.

Une chaleur prend possession
De mon corps en fusion,
Et après sans soucis
La mort revient à la vie.

Quand je crie mon amour
Tous les gens deviennent sourds,
Ton visage jamais en pleur
Est aussi jolie qu’un jardin en fleur.

Ton parfum transporté par le vent
Fais resurgir mes sentiments,
Il me rappelle ta beauté
Plus élevée que celle d’une fée.

Tes cheveux couleur de feu
Sont divin et prodigieux,
Ton sourire, si éblouissant
Est équivalent aux diamants.

Poème envoyé par Clément
(15 ans - 17 août 2004)

On franchit le cap
Tes soupirs me trottent dans la tête
Ton désir encore en tête à tête
Nos jeux interdits, indécis
Je n'ai plus peur de l'imprécis

J’ai franchis l'issue
Le soir à ton insu
La douce aquarelle m'est apparut
Comme ta bouche vers l'imprévu

Complet derrière tes apparences
J’ai trop goûté de ta substance
Derrière tes petits traits d'innocence
Laisse moi encore goûter tes sens

On franchit le cap
Toutes voiles allant
Vers un coeur maussade
Un océan
On franchit l'amour
Aux coeurs criant
Oh oui au secours l'adieu indécent

Sous tes trémas
Qui glissent et meurent
Sur ta peau qui se plisse une lueur
J’entends encore l'envie d'aurore
Mon âme se révèle sur ton corps

On franchit le cap toutes voiles allant
Vers un coeur maussade un océan
On franchit l'amour
Aux coeurs criant
Oh oui au secours l'adieu indécent

Poème envoyé par Geneviève
(15 ans - 21 mai 2004)

Ailleurs
Il faudrait un espac
e au-delà de l'amour
Une parole vierge une main délivrée
Que nos lèvres retrouvent au revers du discours
La colère du vent la force du secret

Que tout puisse se dire et tout se pardonner
Que la folie s'exhibe aux rimes interdites
Que l'encre se confonde avec la liberté
L'orage apprivoisé l'horizon sans limites

Que jamais ne s'engluent nos regards nos idées
Que ton rire célèbre à jamais l'Anarchie
Que d'autres te rencontrent et viennent s'échouer
Comme moi sur tes lèvres et ce matin surpris

Que l'aube nous parvienne même dans très longtemps
Rebelle dissidente et jamais résolue
Que nos mains se souviennent et gardent cet instant
Comme un précieux vertige aux matins défendus

S'il suffisait d'un mot pour convaincre l'abîme
Je m'en irais tremblante aux sources de ta voix
Déjouer le soleil jusqu'à l'instant sublime
Où la nuit reviendra qui te ressemblera

Poème envoyé par ZouZOu
(Tunisie - 15 ans - 3 février 2004)

Regarde petit
Regarde ces gens
Fiers de leurs vies
Fiers de ce qu'ils font

Ils sont nés dans des draps de soie
Ils n'ont besoin de rien
Mais ils ne pensent pas à ce qu'ils ont déjà
Mais à ce qu'ils pourraient avoir demain

Une plus grande maison
Une plus belle voiture
Des domestiques et un maître de maison
Presque même un homme pour sortir les ordures

Regarde petit
Regarde ces autres gens
Ils ont à peine de quoi survivre
Et ne s'en plaignent pas pour autant

Ils pourraient se contenter d'un bout de pain
Que les autres ont jeté à la poubelle
Ils ne font que le bien
Malgré cet environnement cruel

Ils font attention aux autres
Qui ne font jamais attention à eux
Ils vivent la peur aux ventre
Peur de tout, peur de si peu

Regarde mon ami
Regarde ces enfants
Qui jouent et qui rient
Qui se divisent en clans

Ils repoussent les pauvres, les intelligents
Les gros, les moches, les petits
Ils les traitent de tous les noms
Et ne leur disent jamais rien de gentil

Mais ce ne sont que des enfants après tout
On doit pas le leur reprocher
Ils faut en vouloir à leurs parents surtout
Qui ne leur ont pas appris comment se comporter

Regarde mon ami
Regarde ces autres enfants
Tout ce qu'ils veulent , c'est avoir des amis
Mais personne ne veut d'eux dans leurs clans

Ils passent leurs vies solitaires
Alors qu'ils n'ont rien choisi
A dix ans ils ont déjà beaucoup souffert
Et ça les suivra toutes leurs vies

Ils voudraient bien parler aux autres
Leur faire comprendre leurs situations
Mais ce n'est pas leur faute
Si personne ne les entend

Regarde marmot
Regarde ces gens
Qui tuent les animaux
Pour en faire des manteaux et des gants

Leurs chaussures vertes
C'est un crocodile en moins
Un crocodile, ce n'est pas une grosse perte
Mais c'est quand même un animal en moins

Ils jettent des pierres aux chats dans la rue
Ils les écrasent avec leurs voitures
Ils chassent les animaux et ils les tuent
Les mettent dans leurs assiettes dont la moitié part aux ordures

Regarde marmot
Regarde ces autres gens
Ils aiment les animaux
Et ils les respectent vraiment

Ils pourraient même partager
Leur bout de pain avec un chat
Ils ne pourraient jamais le blesser
Même s'ils devaient en mourir de faim

Et pourtant personne ne s'en aperçoit
Personne n'a l'air de s'en préoccuper
Les meilleurs ce sont ces gens là
Et non pas ceux qui croient pouvoir tout avoir avec un peu de monnaie

Regarde mon ami
Regarde ces gens
Qui n'ont rien compris à la vie
Qui ont de drôles de comportements

Comme s'ils ne savaient pas ce que c'est qu'une poubelle
Ils jettent leurs déchets par terre
Et puis ils disent que la nature est belle
Mais ils ne se rendent pas compte que ce ne sera que temporaire

Ils polluent la mer avec leurs produits chimiques
L'air avec leur fumée
Et puis ils sont surpris quand surviennent des évènements tragiques
Comme s'ils n'avaient rien provoqué

Regarde petit
Regarde tous ces autres gens
Qui essaient de nous faciliter la vie
En étudiant les dégâts et en les réparant

Tout ce qu'ils veulent
C'est vivre dans un environnement pur
Mais ils se retrouvent parfois seuls
A force de vouloir trop protéger la nature

Ils nettoient la mer
Evitent les voitures et nettoient les côtes
Bref, ils essaient de réparer toute la galère
Qu'ont causée les autres

Regarde enfin
Regarde ces gens
Regarde ces gamins
Tous tellement différents

Ceux qui passent leurs vies à travailler
Qui ne profitent même pas de leurs vies
Et d'autres qui ne travaillent jamais
Au sacrifice de leurs vies

Ceux qui ne respectent personne
Qui se croient les meilleurs
Et d'autres qui sont modestes et qui donnent
Ceux-là sont les meilleurs

Alors regarde
Regarde ceux qui ont raison et ceux qui se trompent
Regarde et écoute
Mais surtout suis le meilleur exemple

Poème envoyé par Elodie
(14 ans - 3 janvier 2004)

Le matin je pense à toi
A midi je pense à toi
Le soir je pense à toi
On ne vit qu'une fois
L'amour est au dessus des lois
Alors embrasse-moi
Je n'attends plus que ça

Poème envoyé par Tifal
(15 ans - 1 janvier 2004)

Au premier jour de ma vie,
Tu étais déja là!
En toi je me reconnais
Et en moi tu es
Je t'ai dans la peau
Depuis que tu m'as dis
Juste deux mots et demi
Qui pour moi veulent tout dire
Juste une phrase
Qui a complètement à ton égard
Changer mes sentiments
Juste quand tu m'as dis:
"JE T'AIME"

Poème envoyé par Laurence
(14 ans - 3 novembre 2003)

J’ai vu la mort
J’ai vu le sang
Couler sur les visages de ces pauvres enfants

J’ai vu la peine
J’ai vu la haine
Dans les yeux de ces adultes en plein combats

J’ai vu la joie
J’ai vu l’amour
Naître dans le cœur ces joyeux adolescents

Je t’ai vu toi
Et je ne pourais jamais au grand jamais t’oublier

Poème envoyé par Magdalene
(14 ans - 3 novembre 2003)

Tu es parti de ma vie,
Pour connaître un autre monde,
Que celui que je t'ai fais vivre,
J'aimerais te prendre ànouveau,
Je veux être avec toi,
Je pense que ton amour pour moi est parti,
Je suis amoureuse de toi,
Et je le resterai,
Touche ma peau,regarde mes yeux,
Regarde dans mon coeur,
Et montre moi les moments fort vecus ensemble,
Regarde mes lèvres et les mots qui en sortent,
Je sens qu'une abscence s'installe en moi,
J'ai besoin de toi,
Reviens-moi....

Poème envoyé par Lou
(15 ans 1/2 - 27 octobre 2003)

Ne vivre que pour personne
Je ne voulais rien d'impossible,
Je n'avais pas demandé la mer,
Mais on n'a point trouvé mon désir,
L'amour pour moi n'est pas sur Terre.

J'aurai juste souhaité être aimée,
Mais on n'a pas compris mon chagrin,
Ne m'offrez pas toutes ces richesses,
Pour moi, elles ne valent rien.

Je sens les personnes qui m'envient,
Qui voudraient avoir ma vie,
Que savent il de la solitude ?
De vivre dans l'incertitude?

Allez, c'est cela, prenez ma vie,
Je l'échange si vous voulez
Ma place est si chère par ici,
Mais pourtant si déséspérée

Poème envoyé par Sarah
(15 ans -19 octobre 2003)

Relativité
on m'avait dit qu'un an c'était 365 jour,

qu'un jour c'était 24h,
qu'une heure c'était 60 minuntes,
qu'une minute c'était 60 secondes,
mais on ne m'avait jamais dit qu'une seconde c'était l'éternité sans toi

Poème envoyé par Clément
(14 ans -11 octobre 2003)

La mort au soleil
je te donnerais une petite musique
et quelques mots
une luminosité
qui s'efface et qui brille

le reflet du soleil
sur le torrent
l'image d'une rose rouge
que le gêle aurait refroidie

je te donne une note un soupir
je te donne un torrent de larmes
un peu de songe,un peu de vent,
dont on voit les plis sur l'eau

je te donne qu'une chanson
comme une bague
des mots légers et transparents
qui s'envolent dans le vent
regarde au fond la flamme qui est en toi

Poème envoyé par Marine
(14 ans -11 octobre 2003)

Puisque tu pars
Puisque tu pars
Que tu me laisses ici
Puisque tu pars
Je m’en vais aussi

Es-tu sûr de ne pas regretter
Nos années passées
Ces moments de bonheur
Qui ont fait vibrer nos cœurs

Puisque tu pars
Il faut bien que je m’y fasse
Puisque tu pars
Sans laisser de traces

Que faire dans ces moments là
Je ne sais pas
Et toi ?

Poème envoyé par Charlotte
(15 ans - 2 octobre 2003)

Seulement toi
Tu es en face de moi
Tu ne me vois même pas
Pourtant je suis bien là
Assise sur le banc,
Je te regarde tout le temps
Tu en as peut être marre
Mais moi je continue, j'aime ça
J'aimerais tant t'avoir près de moi
J'adorerais que tu me prennes dans tes bras.
Tout ce que je sais de toi
Me suffit largement
Pour savoir que c'est avec toi
Que j'aimerais passer tout mon temps...

Poème envoyé par Mercedes
(14 ans - 6 septembre 2003)

Amnésie
La Mer éternelle et capricieuse,
La Mer dégagée ou tempétueuse,
La Mer calme ou tumultueuse,
La Mer en aucun cas ennuyeuse.

Ses rouleaux, tels des chevaux enragés,
Vont et viennent du matin jusqu’au soir
Sur de majestueuses falaises choir,
Sans jamais que leur chemin soit changé.

La Mer, vaste étendue douce ou furie,
Rarement inconditionnelle amie,
Est pourtant la bienfaitrice des marins,

Leur offrant poissons et coquillages,
Avant d’être une source de chagrin,
Transformant le bonheur en naufrage.

Poème envoyé par Dorian
(14 ans - 6 septembre 2003)

Amnésie
Certaines choses qui ne le devraient pas
Étaient, sont et seront oubliées,
Qu'elles annoncent bonheur ou trépas
Aucunes de celles qui ont existé,
Existent ou existeront quelles qu'elles soient
D'histoires passeront en légendes qui mythes deviendront,
Jamais en ce monde dans lequel nous avons foi
Dans la roche même ancrées ne resteront,
Et dans les confins des plus profonds chemins
Où me mènerons mes pas,
Je ne puis déceler ni aujourd'hui, ni demain
Si dans l'amnésie elles sombreront ou pas.

Poème envoyé par Lucia
(16 ans - 8 juillet 2003)

L'enfant de la rivière
Au loin la-bas, dans la clairière,
Où ruissellent les eaux profondes
Jaillit l’enfant de la rivière
Les yeux troublants, fixés sur les ondes.

Ce silence lui appartient
Au rythme de ses soupirs
Cet endroit est bien le sien
Où flottent ses souvenirs.

Sa vie défile au gré du vent
Et coulent ses peines et ses colères
Les années les vieillissent tout doucement
Et finit par mourir, l’enfant de la rivière.

Poème envoyé par Mathilde
(14 ans - 10 juin 2003)

Mathilde est un quadruple prénom dans la classe,
A chaque fois que l'on en appelle une cela m'agace
Toi là bas derrière untel qu'on nous appelle !
Hi!,Hi!,Hi!,disent les autres, pas toi l'autre !
Ils rient ce n'est pas drole mais pernez garde !
Le prénom de mathilde ne se porte pas a la légère !
D'ailleurs la premiere fut une reine mémorable
Et qui fut comme nous, une femme remarquable !

Poème envoyé par Laurie
(14 ans - 3 juin 2003)

Dès que je t’ai vu,
J’ai su
J’ai su que je ne t’oublierai pas
Que j’aurai besoin de toi
Pour me consoler
Mais surtout m’aimer
M’aimer comme dans mes pensées
Mais surtout comme je le fais
Mais je ne sais comment te le dire
Peut être avec un sourire ?
Mais je ne veux pas que tu me fasse souffrir !
Car je t’aime, Je t’aime a en mourir !

Poème envoyé par Maëlle
(13 ans - 21 mai 2003)

Pour Maxou
Je lis ce que tu m'écris
J'essaie d'imaginer ce que tu me dis
Et là tout s'envole
Je tombe dans une dimension folle
Dans un univers nouveau
Mais tellement beau
Que tout s'éfface
Comme dans l'espace
il n'y a que toi
Et je me contente que de ça
Même si tu n'es pas à mes côtés
Comme on l'aurait souhaité
Je t'aime de tout mon coeur
Et j'attend l'heure
Où nous nous rencontrerons,
Et nous nous échangerons
Tout plein de calins
Qui sait ? Tel est notre destin !
Tu en veux encore ?
D'accord.......
Je pourrais continuer toute la nuit
Mais je suis déjà endormie
Les rimes et l'inspiration ne me viennent plus
Le sommeil m'a vaincu
il y a un doux vent frais qui vient de dehors,
Je m'endore....
Avant de fermer mes paupières
Je sens un étrange flottement dans l'air
Quelque chose que tu auras toujours :
Mon Amour

Poèmes envoyés par Lou
(14 ans - 21 mai 2003)

Poème d'amour à mes amis les mots
Les mots partent et reviennent
Dansent de mille façons,
Sortent et rentrent sur scène,
Dociles ou vagabons.

Ils se couchent sur les feuilles,
Et s'alignent souvent,
En poème délirant,
Puis les hommes signent avec orgueil.

Les mots sont la beauté,
L'intelligence, et puis l'amour,
La peur, la vie, la gaieté,
Et ils le resteront toujours.

Sans eux nous ne sommes rien,
Nous ne pouvons nous exprimer,
Ils nous montrent le chemin:
Ils n'aiment pas être dictés.

Les mots, anglais ou bien allemand,
Belge ou encore flamand,
De quel origine qu'ils soient:
Pour nous, toujours ils sont là.

Souvenirs
Un vent glacé souffle sur ton visage,
Et tes cheveux de blés me font souvenir,
A ces jours passés mais maintenant fanés
Et comme ton absence m'a fait souffrir..

Une pluie fine tombe sur ton foyer,
Et je songe à ses heures passées,
Près de la bûche rouge qui se consumait,
Ou je voyais tes yeux tels des braises cendrées.

Pour que la vie soit un paradis
La nuit disparait dans son manteau de brûme
Alors que le vent souffle, et que comme de coutume
La bise le remplace tel un baiser glacé,
Tel un glaçon qui passe pour tout apaiser...
Le jour apparait, arrosé de rosé,
Qui est le continu de la bise refroidie,
Qui permet à la lumière d'être en beauté,
Pour que la vie soit un paradis.

Jardin secret
Je garde dans mon coeur une blessure secrète
Un amour envolé ayant volé mon coeur...
Je garde dans mon âme une petite cachette
Et je serais heureuse que ça reste ta demeure...

Poèmes envoyés par Missi
(13 ans - 9 avril 2003)

Dans l'espoir que tu m'entendes
Tu m'as fait pleurer et rire
Et c'étais pas seulement avant de mourir
Ça me fait du bien de t'imaginer ayant des ailes

Pour pouvoir nous suivre au fil des jours
Peu importe où l'on se trouve
Nous voir essayer de savourer la vie
Puisque nous avons finalement comprit
Quelle ne serait pas indéfinie

Ton passage sur la terre en a inspiré plus d'un
Et c'est aussi vrai que l'herbe est verte
Tes mots me réconfortaient
Même lorsqu’ils provenaient de derrière ton clavier
Ils réussissaient à me réconforter
J'aimerais trouver quelqu'un qui en fasse autantMais c'est évident que tu étais bien plus qu'unique

Je tenais à préciser
Qu’avec moi tes secrets sont en sécurité
Tu as ma parole
Tu n’as pas à t’inquiéter
En conclusion
Tous nous t’aimions

Et ton départ nous à réellement ébranlé, c’est la vérité
Mais tous ensemble, unit
Comme tu nous l'as si bien apprit
Nous avons réussit à survivre et à retrouver un certain équilibre

Même si pour tous
C'est encore douloureux
De réaliser qu'on a perdu une personne aussi extraordinaire
Un gars aussi spécial

De réaliser qu'on t'a perdu...

Poèmes envoyés par Melissa
(16 ans - 25 mars 2003)

Sentiment
Quand on n'a que 12 ans,
On ne comprend pas toujours
Ce que c'est que l'amour.

On ressent
De drôle de sentiments
Et on ne sait pas forcément
Ce qu'ils veulent dire vraiment.

Pourtant,
En veillisant,
Quand on les comprend,
On aime pas tout le temps
Ce qu'ils veulent dire vraiment...

Un petit ange
Cette nuit un petit ange
Est passé et m'a volé
Mes baisers
Pour venir te reconforter
Puis il m'a dérobé mes souhaits
Pour les exaucer
Il m'a tout simplement aidé
A ne pas t'oublier


Poème envoyé par Nadège
(16 ans - 16 mars 2003)

Cette Avenue
Je pleure
Dès que tu disparais
Je n’ai pas peur
De dire la vérité

Quand je suis avec toi
Et que tu me prends dans tes bras
Je suis contente
Crois-moi, c’est loin que je mente

Tu es en moi
C’est comme ça
Tu es dans mon cœur
N’aie pas peur

Je pense à toi
Même quand je ne te vois pas
Quand tu es hors de ma vue
Je pense à cette avenue,

Dans laquelle, nous nous sommes rencontrés
Nous nous sommes dévoilés
Nous nous sommes embrassés
Et nous nous sommes aimés

Tu es en moi
C’est comme ça
Tu es dans mon cœur
N’aie pas peur

Maintenant, nous vivons heureux
Cette rencontre nous a ouvert les yeux
Des sentiments sont nés
Et nous ne sommes pas prêts de les regretter

Tu resteras en moi
C’est comme ça
Tu resteras dans mon cœur
N’ayons plus peur...

Poème envoyé par Sylvain
(13 ans - 12 mars 2003)

Je descends la pente à toute vitesse,
Comme une partie de moi qui s’affaisse
Je souhaite que cela cesse,
Il faut que je me redresse.

Je me demande de quoi j’ai l’air,
Croupissant dans une vie amère,
Dissimulé sous un masque austère.
Comment puis-je m’en défaire ?

Je dois me reprendre,
Il n’est plus question d’attendre.
Comme le phénix renaît de ses cendres,
Je renaîtrai de mes méandres.

Je conclus donc sur une note optimiste,
Merci a toi de m’avoir montré le chemin,
Je l’arpenterai au fil de mon instinct
Sans jamais me montrer défaitiste.

Poème envoyé par Lilith
(15 ans - 27 janvier 2003)


La mort dans l'âme
Comme sésame
Pleine de trésors
la jeune Aurore
pleura la mort
l'accusant à tort
De ne pas jouer
Mais de tuer
La mort ne comprenant la raison
de cette détresse,
Emmena la jeune enfant comme une traîtresse
Sans comprendre se qui lui arrivait
La petite Aurore s'en allait en paix

Poème envoyé par Shaniara
(16 ans - 4 janvier 2003)


Un poème pour un amour
Un poème
Pour te dire "je t'aime",
Un micro
Pour te le dire tout haut,
Un bâteau Pour m'enmener près de toi,
Un château
Avec moi Reine et toi Roi,
Une fleur
Et tu as pris mon coeur,
Un amour
Jusqu'à la fin des jours.

Poème envoyé par Johany
(14 ans - 17 novembre 2002)


POEMES
C'est dans ses poèmes
Que je te prouve combien je t'aime
Car je ne sais comment te le dire
Ou encore te le décrire

Tu y retrouveras
Mes faux pas
Mes faiblesses
Et mes maladresses

Tu pourras y voir mes cassures
Ainsi que mes blessures
Je te dévoilerai mes secrets
Et quelques-uns de mes regrets

À l'intérieur de ces poèmes
Tu y verra aussi défiler ma vie
Si je les écrit
C'est pour te dire Je T'aime

Poème envoyé par Valérie
(14 ans - 21 octobre 2002)


Le vent t'a emporté,là où valsent les âmes,
Mais hélas,il n'a pas apporté avec lui mes larmes.
Les étoiles filent dans le ciel d'azur,
Où es-tu?Sans toi la vie est si dure.
Certaines nuits, je fixe le plafonnier,
Priant les anges de bien vouloir te ramener.
Tous les trésors du monde ne peuvent venir à bout,
De ce vide que je ressens, sujet tabou.
Tant de lendemains à tes côtés évaporés,
Tant de complicité que jamais plus je ne verrai.
Ton souvenir, ton sourire, ils ne cessent de me hanter,
Je prie pour qu'un jour je réussisse à oublier.
Si tu voyais mes yeux s'embuer ce soir,
Mes joues s'inonder, mon coeur rongé par le dés
espoir.
Je sais que tu saurais soigner mes maux,
Me réconforter,trouver les mots qu'il faut.
Je t'ai écrit une lettre pour tout te confier,
Mais pour la lire, tu as toute l'éternité.
Mes jours sont fades et incomplets,
C'était bien mieux quand tu y étais.
Maintenant que tu a pris un autre chemin,
J'aimerais tellement m'éveiller demain,
Traverser les frontières et te revoi,enfin.

Adieu petite soeur...

Poème
(14 ans - 11 juillet 2002)
J'espère que mon poême m'aidera à faire passer un message : ne mettez pas vos vies en danger pour des problèmes sans importance.

A Toi
Pourquoi avoir voulu ce départ si brusque
Tout en pointant ce maudit fusil
Sur ta tempe ?
Je ne supporte pas ton absence
Que vais-je faire sans toi ?
Le monde ne s'est pas arrêté de tourner
Et cela grâce à toi
Et c'est aussi en pensant à toi jours et nuits
Que ma vie continue.
Je revois tes sourire ,
J'entends tes rires,
Je ressens tes soupirs.
Tu vis encore à travers moi...
Je me souviens de tous ces moments
Que l'on passait ensemble
Où tu me faisais rire
Et où je ne pensais plus pleurer.
Tu resteras toujours gravé dans ma mémoire et mon coeur.
Mon ami, mon amour de toujours...

Poèmes envoyés par Arwen
(15 ans - 13 janvier 2002)

Mépris peureux
Quoi que tu dises
Ce sont bétises
Fais à ta guise
Tes analyses
Sont mes hantises

Plainte mélodieuse
Je crois au diable
J'en suis capable.
Mais être aimable
Part comme du sable.
Etre honorable
Jouant au Scrabble
La mine affable
C'est trop durable
Je suis coupable !
Une feuill' d'érable
Un bout de cable
Un coin de table
Ce n'est que fables

Poème envoyé par Jessica
(16 ans - 25 octobre 2001)

Plaisir d'Aimer
Oh mon Tendre Amour
Voilà que le calme s'installe
Comme chaque jour
Tu pars vers nos deux étoiles

Je sens ta respiration
Telle une caresse sur mon corps
Cette douce sensation
Toujours plus belle encore

Celle qui m'envahie
De la tête aux pieds
Même dans mes nuits
Partout où je vais

Elle dirige ma vie
Guide mes désirs
Et pousse mes envies
Jusqu'au Plaisir

Le Plaisir d'avoir Besoin
D'être possesive et attentive
Aux moindres petits soins
Jusqu'à en devenir excessive

Viens tout contre moi
Nous avons l'éternité
Prends-moi dans tes Bras
Chéri, fais-moi rêver

J'ai Besoin de Toi
De tes mots-doux, de ton Amour
De tout ce Bonheur et cette Joie
A Jamais et pour Toujours

Seul l'Amour
Arrive à nous ouvrir
A un tel Avenir
Que personne n'arriverai à reproduire
Car il est le seul à nous faire découvrir
Ce merveilleux Plaisir
D'Aimer et d'être Aimé

Poème envoyé par Céline
(15 ans - 22 décembre 2005)

Tue-moi mon amour

L'amour est une arme qui me tue chaque jour
Et me transforme en une personne sans coeur.
Mon âme souffre et le chante d'un ton sourd,
Puis le tourment de ma joie entraîne mes pleurs.

Il manque quelque chose; mon corps se sent bien vide.
Extérieur magnifique mais bien trop trompeur,
Petit joueur bien aimé a l'esprit acide
Qui malgré son grand coeur ne connaît pas la peur.

Alors je demanderais à son grand courage,
De me tuer par l'arme de l'amour obscure,
Pour vivre mieux sans mon coeur et son chantage.

Poème envoyé par Anne Sophie
(14 ans - 14 octobre 2005)

La Mort,

La mort est un long voile noir,
Derrière lequel on ira forcément tôt ou tard,
Où se trouve des personnes qu’on aime,
A qui on a pas eu le temps de dire au revoir.

La mort nous inspire de la haine,
Quand elle enlève ceux à qui on tient,
Et nous fait peur quand elle nous tend la main
Parfois on voudrait aller de l’autre côté,

Pour vivre un dernier instant avec l’être bien aimé,
Qui sans adieu a disparu.
Et même si on sait que l’on ne le reverra jamais,
Chaque jour on espère le croiser au détour d’une rue.

On a beau crier, pleurer, espérer,
La mort ne reviens pas sur ces décisions,
On a beau la supplier,
Elle ne nous rendra jamais ceux qu’elle a emmené à l’horizon…


Poème envoyé par Elodie
(14 ans - 24 février 2005 )

Ma vie,

Une simple vie d’adolescente désunie,
Rongée par la peur,
D’un jour voir s’envoler son bonheur.

Une ado pas tout a fait comme les autres,
Que parfois du doigt on montre,
En parlant de ses amours et sentiments,
Qui pour certains sont frivoles ou inconscients,

Mais après tout c’est ma vie,
Celle que je mène aujourd’hui,
Que j’ai peur de voir partir,
Emportant avec elle mes désirs, rêves et souvenirs,

Le jour où je la verrai passer la porte,
Je me dirai « que le diable l’emporte »,
Mais si elle réfléchit un jour ou une nuit,
Elle saura que je l’aimai plus que ma vie,

Ma vie qui grâce à elle,
Arbore de splendides ailes,
Qui me transportent jusqu’au paradis,
Que j’aperçois lorsqu’elle me sourit.

Poème envoyé par Julien
(15 ans - 3 février 2005 )

La vie est noire
Comme mon espoir,
J'ai essayé de m'accrocher
Mais à quoi bon espérer,
Je voudrai m'endormir
Pour ne plus ressentir
La désolation
Et la condamnation,
Dormir à tes cotés
Et tout recommencer

Toujours avec toi
Bloti contre moi
Je veux construire notre futur
Trouver une vie moin dure
Et avec toi je le ferrai
Et sache que toujours je t'aimerai

Partir loin,
Au dela de l'océan
Tres loin des tourments
Partir loin
Oublier nos dérapages
Et les naufrages
Vivre notre amour sur une plage
Sans aucun bateau sur le rivage

Poème envoyé par Noémie
(15 ans - 23 décembre 2004)

Dans ma vie
Je sens comme une drôle d'impression
Un goût d'ailleurs
Comme une drôle de sensation
Intérieure.

Je sens comme une délivrance
Un espoir heureux
Comme une sorte d'assurance
Qui m'émeut.

Je sens comme une tâche de peinture
Dans ma tête
Comme une grosse éclaboussure
Une tempête.

Je sens comme un vent de chagrin
Qui me frôle
Un peu comme une chanson sans fin
Sans paroles.

Je sens comme une drôle de rature
Dans ma vie
Une arrogance, une déchirure
Dans ma vie.

Poème envoyé par Johanna
(15 ans - 26 août 2004)

La petite poupée
De son nom mythique
Son petit corps de plastique
Jamais ne grandira
Jamais ne soufflera ses bougies
Avant minuit
La petite poupée le même âge toujours aura
et Jamais de larmes ne déversera

Poème envoyé par Doriane
(14 ans - 17 juillet 2004)

Toi tu es noir
Moi je suis blanc
Et pourtant nous ne sommes pas si différents

Le matin tu te lèves
Et contemples le ciel
Le soir je me couche
Et observe les anges

Tu as un cœur
Qui te sers à aimer
J’ai une âme
Qui me permet d’oublier

Tu observes la vie
Et tu souris
Je pense à la mort
Et la tristesse m’envahis

Nous avons plein de points communs
Mais le plus important
C’est que nous sommes humain
s

Poème envoyé par Elodie
(15 ans - 29 avril 2004)

Un sourire
Un sourire est
bien peu
Mais il rend tellement heureux.
Si quelqu’un nous sourit,
Notre vie s’adoucit
Et peu à peu notre ciel devient plus bleu.
Finit les tracas et les vicissitudes
On en perd même nos habitudes.

Un sourire procure beaucoup de joie
Et tout cela ce n’est rien que pour soi.
Ce sourire que l’on nous tend
Comme un précieux présent
Il nous faut l’accepter
Et même le renvoyer.

Un sourire n’arrache rien à celui qui l’envoie
Mais apporte beaucoup à celui qui le reçoit.
Alors souriez et soyez généreux
Vos proches n’en seront que plus heureux !

Poème envoyé par Julie
(14 ans - 25 avril 2004)

L'orphelin
Dans ces moments de solitude
L'orphelin
Il ne sait pas quand commence la nuit et finit le jour,
Il a perdu la notion du temps.
Il ne peut vivre sans amour
Ni grandir sans parents.

La Grande faucheuse a ravi
Son bien le plus précieux
Et ne lui a laissé dans la vie
Que son coeur malheureux

Il pleure, il dépérit, se noie dans sa douleur,
Plus rien ne l'amuse, tout est chagrin
Il lui semble ne plus avoir droit au bonheur,
Ni à la joie du premier matin.

"Regarde moi, dit le soleil, je brille.
Je veux réchauffer ton coeur de mes rayons,"
Mais que peut faire un astre qui scintille
Sur l'âme meurtrie d'un petit garçon.

Quand connaitra t-il l'aurore?
Celle qui se lève sur les champs de bataille,
Celle qui rend à la vie l'espoir mort,
Celle qui nous extirpe de la faille

Je voudrais, pour tous ces orphelins,
Ceux au bout du monde ou à portée de main
Qu'ils retrouvent le sourire et croient au lendemain
Qu'ils jouissent de l'enfance comme tous les êtres humains.

Poème envoyé par Véronique
(14,5 ans - 4 avril 2004)


Dans ces moments de solitude
Où la raison se perd
Je songe à une multitude
De rêves heureux mais éphemères

Dans ces instants si fragiles
De concentration interminable
Je tente de les faire revivre
Bien que ceux-ci restent vagues

Dans ces arrêts de l'âme
Ces fissures dans le temps
J'aperçois parfois une flamme
Qui s'estompe rapidement

Je retourne dès lors à la sérénité
Mais mon rêve est perdu
Ce soir, il sera remplacé
Bien qu'un instant, il m'ait plu

Poème envoyé par Amélie
(15 ans - 28 mars 2004)


j'aimerais tant que tu me jettes rien qu'un regard
pour que tu puisses m'apercevoir
je te regarde furtivement
mais je me retourne rapidement
et si tu me voyais
et si tu venais me parler
j'ai si peur
mais j'aimerais que tu fasse mon bonheur
alors je me cache
de cet amour
j'ai peur que tous mes rêves avec toi s'effacent
mais peut-être pour nous le destin nous attend au détour.

Poème envoyé par Tiffany
(14 ans - 22 février 2004)


Souffrance d'une enfant
Quelque part dans le monde
Sur cette terre ronde,
Il y a une petite fille
Qui souffre en silence
Elle est jeune et pourtant
Elle supporte la guerre des grands.

Pourquoi tant de haine
Alors que l’amour existe.
Elle voudrait dénoncer cette injustice
Mais personne ne la voit.
Elle voudrait crier cela
Mais qui l’écoutera ?

Ses parents sont partis
Loin d’ici.
On lui a dit qu’ils étaient au paradis.
On lui a aussi raconter
Que la guerre s'arreterait
Mais il n’y a plus de secret
Car elle sait qu’elle ne s’arrêtera jamais.
Elle sait qu’ils mentent
Les gens qui disent cela

Pourquoi tant de haine
Alors que l’amour existe.
Elle voudrait dénoncer cette injustice
Mais personne ne la voit.
Elle voudrait crier cela
Mais qui l’écoutera ?

Comment faire pour l’aider à s’évader
Et quand bien même
Comment lui faire oublier
Tout le mal qu’aujourd’hui
Cette petite fille a subit.

Poème envoyé par Rubby
(14 ans - 8 décembre 2003)


Qu'est ce que l'Amour ?
L’Amour c’est toi,
Poème envoyé par Rubby
(14 ans - 8 décembre 2003)


Qu'est ce que l'Amour ?
L’Amour c’est toi,
Et ça je l’ai su, dès que je t’es vu
L’Amour c’est toi et moi,
Et finalement l’Amour, ont le constituent.

L’Amour commence chaque matin,
Lorsque je me lève dans tes bras
L’Amour c’est chaque parfum,
Qui remplissent mon corps et âme quand je te vois.

L’Amour c’est nos baisers volés,
Et dès le premier jour du monde
L’Amour, c’est pour l’Eternité,
C’est aussi donner la vie, quand tu me rends féconde.

L’Amour na pas de ride,
Car il n’y a pas d’âge pour se sentir bien
L’Amour n’est pas perfide,
La règle d’or en amour : c’est qu’on ne se cache rien.

L’Amour ne parle que par son nom,
Mais qui lui a donné le sien ?
L’Amour c’est aussi dire non,
Mais l’Amour c’est dans ton cœur : aussi pouvoir lire dans le mien.

L’Amour qui s’économise, n’est pas le vrai Amour,
Lorsque que tu donnes tout, tout de suite tu aimes vraiment
L’Amour c’est vivre au jour le jour,
Car quand tu aimes, tu ne sais pas ce qui t’attend.

L’Amour c’est faire preuve de compassion,
S’il en a besoin, laisse lui une nouvelle chance
L’Amour est en constante évolution,
Donc bannît-en toutes les souffrances.

Aimer ou se persuader que l’on n’aime pas,
Voilà un bien gros problème
L’Amour c’est un choix que l’on fait avec joie,
Et non un dilemme.

L’Amour ce n’est pas dire « je t’aime » à tous bout de champ,
L’Amour c’est dire « je t’aime » en le pensant sincèrement.

Poème envoyé par Eva
(15 ans - 12 novembre 2003)


Tes yeux brillent
Plus que toutes les étoiles du ciel,
Mème en guenilles
Tu me réchaufferais plus que le soleil.

Tu fais naître en moi
Des envies inconnues d'autrefois,
J'aimerais être l'eau de ta douche
Pour couler sur ton corps nu et sur ta bouche.

J'aimerai être tout ce que tu respires,
Tout ce que tu désires,
Etre à l'origine de tes soupirs,
Tes joies et tes désirs.

J'aimerais être tout ce que tu touches,
Tout ce que tu vois,
J'aimerais etre une mouche
Et me poser à jamais sur toi.

Je me nourrirai de ta peau,
De ta sueur et de tes mots,
Et mon plus grand bonneur
Serait de pouvoir me poser sur ton coeur.

Mais mon plus cher voeu,
Serait que tu m'aimes
En étant que moi même,
Que l'on vive ma passion a deux.

J'ai besoin de tes bras,
De te sentir contre moi,
De goûter tes lèvres
Ailleurs que dans mes rèves.

J'ai besoin de ton corps,
De te serrer très fort,
Que tu me dises "je t'aime"
Ailleurs que dans mes poèmes.

Comme une fleur sans eau,
Je fane et bientot je meurs,
Viens vite m'ouvrir ton coeur
Ou le mien deviendra tombeau.

Poème envoyé par Aurélie
(15 ans - 12 octobre 2003)

Pour Romain
Il est :
En un regard croisé
Ma raison d'exister
Et en un seul baiser
Nous nous sommes liés.

Il est :
Le soleil de ma vie,
Les rêves de mes nuits,
Ce mot parfait,
Le mot "aimer".

Il est :
Quelques instants de paix,
Bonheur et liberté,
Celui qui enflamme mon coeur,
Celui qui fait fuir mes peurs.

Il est :
La chance et l'espérance
Et malgré la distance
Je t'aimerais toujours
Mon ange, mon amour.

Poème envoyé par Lou
(15 ans - 8 septembre 2003)

L'amour est un soleil
Les braises de l'amour
Consument chaque jour mon coeur
Et sans toi je m' affaisse
Et sans toi, je me meurs

Le feu ardant qui brûle
Explose, chante et scintille,
Je le vois dans tes yeux,
Pour qui tout le temps ils brillent

Je voulais juste te dire
Que tu es mon soleil
Que tu m'éclaires la nuit,
Que simplement je t'aime

Poème envoyé par Laurence
(15 ans - 10 août 2003)

Si...
Si tu peux voir detruire l'ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul mot , te mettre à rebâtir
Ou perdre en seul coup le gain de cent parties,
Sans un geste et sans un soupire ;

Si tu peux être amant sans être fou d'amour ,
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre
Et te sentant hai , sans haïr à ton tour
Pourtant lutter et te défendre ;

Si tu peux supporter d'entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exister des sots
Et d'entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d'un mot ;

Si tu peux rester digne en étant populaire ,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois,
Si tu peux aimer tout tes amis en frère
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;

Si tu sais observer , méditer et connaître
Sans jamais devenir septique ou destructeur ;
Rêver , mais sans laisser ton rêve être ton maître
Penser , sans n'être qu'un penseur ;

Si tu peux être dur , sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu peux être bon , si tu peux être sage
Sans être moral ni pédant ;

Si tu peux raconter triomphe après défaite
Et recevoir ces deux menteurs d'un même front
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront ;

Alors les rois , les dieux , la chance et la victoire
Seront à tout jamais tes esclaves soumis
Et ce qui vaut bien mieux que les rois , et la gloire
Tu sera un homme , mon ami .

Poème envoyé par Laudine
(15 ans - 20 juin 2003)

Avoir le ciel en option
Ainsi, elle avait posé ses yeux sur la vitre

Le miroir de l’âme…

Elle semblait vouloir courir par delà des montagnes,
Gravir les collines ou les dunes sans effort,
Elle semblait vouloir prendre dans ses mains l’eau
Et la caresser doucement,
Et, le regard glissant de neiges éternelles en dunes ensablées,
Elle avait entre les bras le bonheur idéal ;

Depuis peu,

Depuis que le temps lui paraissait s’être arrêté
Et que naissait en son cœur un espoir de liberté
Qui l’emportait loin,

Si loin

Que je n’apercevais plus qu’un point à l’horizon
Sa jupe flottant dans la brise d’été.
Elle avait posé,
Lentement, sûrement,
Comme un élève effacerait,
De sa gomme,
Un faux calcul,
Ses yeux fatigués sur la vitre usée
Et elle caressait posément comme l’on bercerait un ange
La lettre posée près d’elle.

A la fois furtive et immortelle,
Elle m’avait ensorcelé
Et je l’aimais,
Presque autant que je vous aimais
Presque autant que j’aimais ce garçon.
Oui, son regard s’était posé,

Et oui, il était reparti,
Il a le même aspect mat aujourd’hui
Que lorsque j’ai couru vers elle
Pour l’empêcher de mourir.

Poème envoyé par Amandine
(15 ans - 4 septembre 2003)

Pourquoi
Pourquoi tant de haine
Dans un monde où il y a si peu d’espérance
Pourquoi refuser l’amour
Qui pour certains peut être une délivrance.
Pourquoi ne pas briser toutes ces chaînes
Qui lient nos vies par le silence
Pourquoi mais pourquoi

Pourquoi tant de vanité
Pour les autres, nous sommes tout de même des étrangers
Pourquoi trahir une confiance
N’a-t-on pas besoin d’amitié
Pourquoi oublier l’espérance
Laissons à ceux qui le souhaitent le droit de rêver

Rêver d’un monde meilleur
Sans menteur ou tricheur
Un monde de respect et de compréhension
Sans préjugés et sans punitions
Un monde ressemblant au paradis
Pour les grands comme les petits

Pourquoi être égoïste
Quand il y a beaucoup de pauvreté
Pourquoi dire qu’on ne peut changer le monde
Certains en auront la volonté
Pourquoi plaindre les infirmes
Alors que nous pouvons les aider
Pourquoi, pourquoi

Pourquoi affirmer que c’était mieux dans l’temps
Alors qu’on peut améliorer le présent
Pourquoi dire que personne ne nous écoute
Alors qu’il y a toujours quelqu’un qui nous entend
Pourquoi nous plaindre que personne ne nous aime
Si autour de nous il y a des enfants

Car le monde est peuplé de gens
Qui comme nous ne savent pas où aller
Mais si on s’y met ensemble, tous en cœur
On arrivera à trouver le chemin vers le bonheur

Poème envoyé par Lucie
(15 ans - 18 juin 2003)

J'ai envie
j'ai envie de sentir tes mains chaudes sur mon corps froid
J'ai envie de sentir ton soufle,soufler sur moi
j'ai envie de sentir tes levres pulpeuses sur mes levres
j'ai envie de sentir ton regard plonger dans le mien
j'ai envie d'entendre ses je t'aimes que tu me dis dans mes oreilles
voila je t'aime jean-françois

Poème envoyé par Cedric
(16 ans - 22 avril 2003)

La liberté
La liberté, c’est comme le temps,
On vit avec ou on en meurt.
La liberté, c’est pour les femmes d’Orient,
C’est comme une lueur au milieu de leur cœur.
La liberté, qu’elle soit d’expression ou d’opinion,
Elle nous révèle toujours son même ton.

Sans liberté, c’est le diable qui prend le ciel,
Avec la liberté, c’est dieu qui reprend l’essentiel.
La liberté, c’est comme un signe du destin,
Seul au milieu de leurs mains.

Sans liberté, c’est l’océan qui engouffre le vent,
Avec la liberté, c’est le temps qui fait renaître l’océan.
La liberté, c’est tout simplement vivre.

Sans liberté, c’est malheureusement survivre,
Survivre avec le peu de temps qui nous reste,
Sur si peu de liberté.
C’est aussi mettre une veste,
Sur la statue de la liberté.
La liberté, on doit l’apprivoiser.

Sans liberté, on doit y croire.
La liberté, c’est croiser,
Dans les moindre recoins du miroir,
L’envie de croire,
A ce moindre désespoir.
La liberté devient sanglot,
Quand elle coule dans l’eau.

Poème envoyé par Lou
(14 ans - 19 avril 2003)

S'il suffisait d'un regard,
Pour oublier ton visage,
Comme un nuage pourrait
Faire oublier le soleil,

S'il suffisait d'une parole
Pour remplacer l'émotion,
Comme un simple "pardon"
effacerait les blessures,

Mais si tu le voulais,
Nous recommencerions,
Et de notre union sortirait tant de joie,
Que j'en distribuerai au monde entier,

Et tous les hommes aimeraient,
Et tous oublieraient qu'un jour ils ont hais...
Et nous serions alors, comme autrefois, amis...

Mais le vent ne souffle plus,
Et tu me détestes,
Et les gens se regardent,
Se méfient de la peste,

Et moi je broie du noir,
Et moi je désespère,
Le monde perd ses couleurs,
Et en lui, je me perds...

Poème envoyé par Caro
(18 mars 2003)

Si seulement j'avais pu squatter ton coeur
Vivre dans tes pensées habiter tes rêves
Ressentir tous tes désirs tes douleurs
Devenir le sang dans tes veines ta sève

Alors j'aurais pu te comprendre peut-être
Pour te satisfaire quotidiennement
Mais tu n'as jamais rien laissé paraître
Des secrets voilés de tes sentiments

Tu m'as trahie plusieurs, fois je l'ai su
Le chagrin est le poison de mes soirs
J'ai tellement eu mal tellement déçue
Que j'aurais préféré ne rien savoir

Personne ne m'a blessé autant que toi
De la peine veine à la torture mentale
Pourtant je n't'aime pas pour du beurre crois-moi
Mais non tu t'en fous cela t'est égal

Poème envoyé par Jennyfer
(14 ans - 9 février 2003)

Toi
Tu es l'élu de mon coeur
la consolation de mes malheurs
la chose qui me permet de vivre
et celle qui m'évite de mourir
alors que dois-je te dire
t'avouer ou te crier
pour que tu ne cesse de m'aimer
j'aimerais te dire tous bas
I love you
Mais j'attends le jour
ou tu te rendras conte de mon amour
à la seule solution c'est que je t'aime

Poème envoyé par Jeanot
(24 novembre 2002)

La montagne que j'aime
m'apelle toute l'année,
et je ne sais jamais
Si je vais la retrouver.
Ces lacs me font signe
quand mes yeux sont plongés
Dans les plus tristes lignes
de mes livres compliqués.
Ses prairies laissent partir
leurs odeurs de foins
qui font jusqu'à venir
Dans mes plus beaux dessins.
Et lorsque vient l'été,
Et qu'enfin je la vois
Je pense avec fierté,
qu'elle n'attendait que moi.

Poème envoyé par Nicolas
(1er janvier 2003)

Le suicide
Des larmes coulent, des fleurs qui vont faner Les pleurs de ceux qui t'ont aimé(e)
Une plaque de marbre avec ton nom gravé Immortalisé dans la pierre pendant quelques années

Une vie que tu n'auras pas eu le courage de vivre
Et à cause de çà tes proches tu les prive
De ta présence.
La vie est peut être dure
Mais longues seront à se refermer les blessures

De ceux qui t'aiment ; en ayant sacrifié ton existence
Elles se refermeront sans doute jamais
Tu ne le savais pas, tu ne voyais pas leur présence
Mais ils existaient, il y en avait qui t'aimaient !

Il y en avait qui t'aimaient et t'auraient aidé
Si seulement tu avais eu la force de demander Dans quelques années tu n'y aurais plus pensé
Toutes tes souffrances d'aujourd'hui ce serait le passé

Tu aurais été heureux(se) peut être aurais tu trouvé
Ce pour quoi ton destin était fait, ce pour quoi tu es né
Celà maintenant c'est trop tard tu ne le sauras jamais
Et tes proches baignent dans la douleur et la culpabilité désormais

A tous ceux qui pensent à se suicider
Y'à toujours quelqu'un pour vous aider
Pensez que dans quelques années
Tout celà se résumera au passé....

Poème envoyé par Karolina
(14 ans - 4 janvier 2003)

Je me promène sur ce chemin caché par l'ombre de mes pensées.
Savoir ce qui mattends, nul ne le sait
Par la brise de mon âme , je m'entends marcher.
Tandis que mes larmes tentent de se cacher.
L'odeur de cette forêt magique agit sur mon coeur.
Me faisant ressentir aucune douleur, sans craintes ni peurs.
Ma vie est ainsi tissée.
Des moment inoubliables,si inoubliables y sont insérés.
Pour me rendre à destination,
Il faut que j'accomplisse ma mission.
je me battrais nuit et jour
Pour guerrir mon coeur si lourd.
A l'intersection de mes sentiments
Je menvolerais comme un cerf volant pour essayer de me rapprocher un peu plus de la réalité...

Poème envoyé par Doriane
(15 ans - 30 novembre 2002)

Liberté
Quand viendra l’aurore
Couvrant le ciel de son drap d’or
Et que cesseront les préjugés
Alors je te trouverais, liberté

Plus jamais prisonnière
Loin de la misère
Il ne faut plus pleurer
Mais espérer

Le désir de vivre
Plus que tout, délivre
Les opprimés
Et leur offre la liberté

Mais pour ça il faut y croire
Un jour viendra la victoire
Et chacun aura sa revanche
Sur la vie, fini les nuits blanches

Poème envoyé par Nicolas
(15 ans - 1er novembre 2002)

Par delà mes pensées
Je ne sais que te dire car
Tu es là maintenant.
En espérant que tu feignes de ne pas me voir
Car tout au fond de moi
Je sais que pour toi
Je n'ai plus d'importance.
Plus les jours passent,
Plus je prends concience
Que toi et moi , c'est du passé
Pourtant je t'ai tant aimé.

J'aimerai tant qu'il ait une lueur d'espoir,
Un mot à dire, un geste à faire,
Un regard, un sourire
Pour éviter le pire.
Pour que tout redeviennent comme avant
Ce avant où toi et moi on était amis
Où il y avait encore de l'affection
Mais ce n'est qu'un rêve
Je sais que c'est fini
Je ne peux te forcer à m'aimer
Mais,j'aurais une dernière chose à te demander.
Ce petit service est un cadeau d'adieu
J'aimerais que jamais tu ne m'oublis
J'aimerais avoir une petite place dans ton coeur
Je t'en prie ne m'oublis pas...

Poème envoyé par Elise
(14 ans - 30 août 2002)

Etre adulte c'est ne plus rêver,
Ca veut dire que le voyage est terminé
Qu'il faut poser ses bagages.

Etre adulte c'est ne plus désirer
C'est se résignier
Se faire une raison

J'aimerai bien ne jamais devenir adulte
Continuer de croire que ma vie est devant moi,
que tout est encore possible.

J'aimerais bien ne jamais m'arrêter
Etre au début des choses,
Comme a l'aube du jour.

L'enfant rêve à la vie qu'il aura
L'adulte pleure sur la vie qu'il n'a pas eu.
Peut-on ne jamais devenir adulte ?

Poème envoyé par Aurélie
(14 ans - 14 septembre 2002)

Un océan d'amour,
Dès que je t'ai vue
Tu t'es mise à nue
Et tu m'as dévoilé
Tes plus profonds secrets.

Tu as tant souffert,
Tu cris vengeance à l'univers
J'ai vu en toi une guerrière
Et une femme fière.

Je suis tombé sous ton charme.
Tu as laché les armes
Et tu m'as ouvert ton coeur,
Ensemble on a découvert le bonheur.

Tu es mon ange ,
Je chante tes louanges
Et je t'écris ce poème
Pour te dire je t'aime.

Poème envoyé par Caroline
(14 ans - 23 décembre 2001)

Des équidés plein la tête,
Si j'avais un zèbre
Je l'appellerais Ténèbres
Si j'avais un cheval
Il s'appellerait Dédale
Si j'avais une ponette
Je l'appellerais Pirouette
Si j'avais un poney
Il s'appellerait Barnabé
Si j'avais une jument
Elle s'appellerait comme maman
Mais je n'ai qu'un petit ânon
Je l'ai appelé Neutron

Poème envoyé par Marie Pierre
(2 décembre 2001)

Karine
Les moments partagés au jour de pluie comme de soleil,
Le mot qu'il faut, la phrase sincère, la note qui dit :
Je suis avec toi... bien que tous ses mots il est temps,
je crois, que tu saches
Combien mes jours s'illuminent par la présence d'une amie telle que toi.

Poème envoyé par Charlotte
(4 juillet 2001)

La vie est une source d'énergie,
Elle a parfois des hauts,
Comme quand on gagne un bâteau,
Mais elle a parfois des bas,
Comme quand on perd son emploi,
Mais la vie existera toujours,
Car elle est remplie d'amour.

Poème envoyé par Laura
(2 mars 2001)

Chaque jour,
Chaque jour je pense à toi,
Mais tu ne me vois même pas,
Si nos regards pouvaient juste se croiser,
Je m'en souviendrais pour l'éternité.

Les feuilles tombent sur un tapis de couleur,
Mais les arbres perdent leur splendeur,
Toutes ces superbes feuilles qui s'envolent,
Remplissent mon coeur d'énormément de bonheur.

Un air galcé s'engouffre dans la maison,
Et dans le jardin se répandent les flocons,
Pourtant l'automne vient de se terminer,
Et l'on a envie qu'il puisse encore durer...

La vie est comme une rose :
On nait nourisson comme bouton,
On grandit comme épanouie,
On devient ridé comme fanée,
Mais comme la rose dans le coeur des gens,
On ne meurt jamais.

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