Poème envoyé par
Charlotte
(11 ans - 30 janvier 2005)
la plus grande vérite
qu'on puisse apprendre un jour c'est qu'il suffit d'aimer et de
l'être en retour.
Poème envoyé par
Marina
(13 ans - 30 avril 2004)
Toi
En entendant ta voix,
Et te regardant toi,
Mes yeux se remplissent d'étoiles.
Tu es ma seule étoile,
Mon souffle de bonheur,
Mon rêve et ma passion.
Tu es tout simplement,
Mon idôle, la personne
Qui me fait rêver!
Je veux juste une parole,
Ma main dans la tienne,
Juste quelques minutes...
De pur bonheur...
Tout simplement...
Je t'Aime
Poème envoyé par Sarah
(13 ans - 23/03/2004)
Vie
douce vie, lasse qui passe
vie tranquille, longue qui meurt
puis guérit au matin
répétition,
répétition...
toujours la même
toujours pareil
on se lève à l'aube puis on dort au soir
on nait à l'aube puis on meurt au soir
répétition
est-on vivant ?
ou est-on mort ?
sommes nous importants ?
si je ne vivais pas où pourrais-je bien être ?
mer, sable, nuage ou poussière ?
car qui sait ?
peut-être n'est-ce qu'un grand rêve
toute notre vie
imagination ? fabulation ?
douce vie, lasse qui passe
vie tranquille, longue qui meurt...
Poème envoyé par Charline
(12 ans - 28/02/2004)
Esperanza
Ne plus y croire,
C'est perdre espoir.
Mais avoir la volonté,
C'est espérer
De changer les choses,
Pour des causes
Comme, la paix
L'amour
Et l'amitié.
Poème envoyé par Coralie
(12 ans - 17/02/2004)
L'aveugle
On croit qu'il ne voit rien
Pourtant derrière ses yeux brisés
Il voit la liberté
Derrière ses yeux brisés
Il voit le monde entier
Derrière ses yeux brisés
Il n'ose en parler
Alors il se tait dans son monde secret.
Poème envoyé par Héléna
(Varsovie - 11 ans - 13/02/2004)
L'école
maîtesse
qui a ecrit sur le tableau noir
tableau
qui s'efforce d'écrire
stylo
qui donne cette écriture laide
cartable
qui donne 500 millions de devoirs
heure
qui donne des cours et des récrés
récré
qui invente les jeux
école
qui fait souffrire
que j'ai des bonne notes
à vous proff
sans coeur
Poème envoyé par Sarah
(13 ans - 8 janvier 2004)
Je me suis assise
et j'ai regardé
tout était sombre
rien .
Poème envoyé par Alexandra
(13 ans - 27 octobre 2003)
Aimer en silence
Quand on aime quelqu' un
qui ne nous aime pas
On souffre .
On pleure
On l'aime tout bas
Poème envoyé par Florent
(12 ans - 16 septembre 2003)
C'est
L' océan c'est une immensité bleue
l'océan c'est
le rafraichissement
l'océan c'est un couleur de plus sur la terre
l'océan c'est la colère,le calme,la tempète
l'océan c'est les marées,les mouettes
l'océan c'est la joie de tous
Poème envoyé par Delphine
(11 ans - 11 mai 2003)
Les mille secrets
Je regarde l'océan
aussi profond que moi
quand j'ai des soupçons
sur ma confiance en moi.
J'écoute les oiseaux
qui sifflotent gaiement
et comme dans un concerto
je joue l'accompagnement.
Je touche les feuilles d'arbres
qui comme des flocons
vollent jusqu'à moi
à la demi-saison.
Je regarde le ciel
qui souffle un vent léger
alors c'est comme une aile
qui vient me protéger.
Je sens le doux parfum
des fruits et plantes épicées
qui de temps en temps
me chatouille lenez.
Alors j'ai la chance de goûter
à la nature et ses milles secrets
Poème envoyé par Uyanik
(20 avril 2003)
Une douceur exquise
Tu es doux, couvert du tissu que j’aime bien
Je te caresse
même si je ne sens rien
A l’intérieur
c’est marron et aussi très bon
A l’extérieur
c’est rouge plein d’émotions
Je n’ai
qu’une seule envie c’est de t’ouvrir
Sans jamais bien
sur te couvrir
Bientôt
il n’y aura plus rien
Mais en ce moment
tu es encore plein
Reste encore
un peu avec moi
Car tu n’es
pas qu’une simple boîte de chocolat
Poème envoyé par Mikaella
(12 ans - 25 mars 2003)
Saisons et vie
Quand l'air dans les champs
se promène au premier primptemps
les oiseaux chantent en coeur
leur ultime bonheur
puis vient l'été
ou le faon va gambader
dans la prairie
ou heureux il rit
OH! voila l'automne
ou les merles chantonnent
et voici l'écureil que ses provisions à beau chercher
il ne sait plus ou il les a posées
BRR! c'est l'hiver
ou intensément
le petit ver
cherche la chaleur désespérément
Courage le primptemps est revenu
et les premières fleurs bourgeonnent
et où en courant
les petits jouent à chat
Poème envoyé par Anya
(12 ans - 1er janvier 2003)
L'amour c'est lui
Avant tu te dis il est beau et puis
Une boufée de chaleur t'envahit
Mon Rayon de soleil c'est lui
En quelque mots c'est avec lui ne pas pleurer mais rêver
Tout est clair je l'aime
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Poème envoyé par Nada
(11 ans - 22 décembre 2005)
La Lune
Lune,qui éclaircit les montagnes
Une ou deux ansi que les compagnes
Merci pour sa lumière brillante
Irrésistible,qui fait rêver comme un conte
Et d'un seul coup,le monde devient blanc
Rester toujours sous sa lueur d'effet galand
Et rêver de voler dans le ciel
Sous sa brillance non artificielle
Poème envoyé par Nada
(11 ans - 14 Novembre 2005)
Maman
Chaque nuit ma mère me berçait dans un landeau
Et tous les mois elle m'offrait de jolis cadeaux
Je lui suis si reconnaissante que je ne saurais jamais
Quoi lui offrir le jour de sa fête le 27 Mai
Les comptines qu'elle me chantaient étaient aussi douces
Qu'une très belle et légère mousse
Le jour de mon baptème elle m'offrit un diadème
Mais moi dans ce joli poème
Je lui dis simplement maman je T'AIME.
Poème envoyé par Nada
(11 ans - 17 octobre 2005)
Les amis
Pour moi les amis sont des êtres précieux
Sans eux je suis toujours soucieux
Pour moi ils valent tous les bijoux de la terrre
Et toutes les perles de la mer
Ils sont toujours à mes cotés aux bons moments
Commme ma très chère maman
Leur aide m'est toujours d'un grand secours
Ils ont tellement de bravoure
Que j'en deduis qu'un ami
Est vraiment fait pour la vie
Poème envoyé par Camille
(12 ans - 16 février 2005)
La guerre
La guerre ne sert qu'a provoquer la misère
Après plusieurs années de combats et de malheur,
Plus personne n'a de coeur.
Et de se demander pourquoi on se bat?
Ca sert à quoi ?!
Tous les gens sont morts et les guerriers,
Sans avoir trouvé de trésor,
Pleurent leurs remorts ,
Devant tous ces corps.
Poème envoyé par Marion
(11 ans - 28 janvier 2005)
Je t'aime
Sur un arbre j'ai écris je t'aime,
Mais on l'a coupé.
Sur une feuille j'ai
écris je t'aime,
Mais on l'a déchirée.
Sur le sable j'ai écris
je t'aime,
Mais on l'a effacé.
Dans mon coeur j'ai
écris je t'aime,
Mais la personne ne pourra l'enlever.
Poème envoyé par Manon
(11 ans - 9 juillet 2004)
Les fleurs été
Au revoir printemps
Bonjour Eté
Au revoir petit vent
Bonjour joli rosier
De belles herbes vertes
naissent dans le jardin
De belles fleurs de couleurs arrivent dans nos mains!
Poème envoyé par Alice
(10 ans - 28 décembre 2003)
Le goût de
la vie
Quelque fois la vie a un goût
piquant et amer
C'est le gout de la colère,
De la haine et du désespoir
Ce goût qui pique la gorge,ce gout poivré et salé,
Ce goût acide...
C'est un coktail puissant, le verre en est que trop rempli
Ce verre représente la vie et le coktail ce qui l'a rempli
Mais aussi,quelque fois ça a le goût de la joie,
Un goût sucré,un goût de glace et de chocolat
Un goût tout doux...
On dirait que la carafe est toujours vide ou qu'elle ne reste
jamais assez longtemp pleine.
Ce mélange de boisson,ce goût amer et sucré,
Tous ces gouts mélangés,
C'est le goût de la vie.
Poèmes envoyés par Cassie
(12 ans - 3 novembre 2003)
Secret
Ce secret,
si lourd, si pesant, qu’on m’a confié,
Je ne sais si
je pourrais, plus longtemps, le garder.
Il est triste, il est doux, il est beau,
Comme un reflet
dans l’eau,
Semblable à
un bourdonnement d’abeille,
Un murmure à
mon oreille,
Pareil à
une brise légère,
Au souffle de
la mer.
Pourquoi, pourquoi
moi,
Et pas un autre,
qui ne l’aurait pas dévoilé,
Ce secret.
Amitié
A mitié, est-tu là ?
M oi, je te cherche là-bas.
I rais-tu me chercher,
T oi, qui es si gaie ?
I ntéressée par le bonheur,
E garée dans mon cœur.
Quand s'envole
Quand s’envole sur la plaine,
Un minuscule brin de laine,
La bergère qui l’a perdu,
S’est lancée à son affût.
Quand s’envole dans le vent,
Un petit poisson volant,
Le pécheur qui l’a pêché,
Est parti le rechercher.
Quand s’envole aujourd’hui,
Lumière faible dans la nuit,
Un fugace vers luisant,
Qui nous quitte maintenant.
Nous vous quittons nous aussi,
Doucement, sans faire de bruit.
Poème envoyé par Cassie
(12 ans - 2 octobre 2003)
Les Dragons
D’abord, croyez-le bien,
Les dragons n’existent
point.
Ensuite, pour
tout vous dire,
Ils ne sont ni
dans le passé, ni dans l’avenir.
Les dragons sont,
en toute demande,
Un mythe, une
légende.
Ils sont horriblement
affreux,
Ces gros monstrueux.
Les princesses
se font enlever par ses vilains dragons,
Mais pour les
sauver on aperçoit un chevalier à l’horizon.
Il y en a des
rouges, des gris, des verts,
Bref, les dragons
sont les malvenus sur Terre.
Poème envoyé par Cassie
(12 ans - 2 octobre 2003)
Si tu voyais
Si tu voyais les plaines aux verts paturâges,
Le ciel rempli de quelques blancs nuages.
Si tu voyais les ruisseaux serpentant à travers les prairies,
Les forêts s'étendant à l'infini.
Si tu voyais les enfants courir dans la nature,
Le hommes travaillant dur.
Si tu voyais les plantes en fleurs,
Les arbres aux mille couleurs.
Si tu voyais les chevaux galopant dans les près,
Les poissons sautant dans la mer salée.
Poème envoyé par Naouël
(11 ans - 25 juin 2003)
Il est heureux...
L'aveugle,
Derrière ses yeux fermés
Entrevoit des fées,
C'est son monde secret.
Il est heureux...
Le sourd,
Ecoute sagement
La voix de sa maman,
Qui le berçait quand il été enfant.
Il est heureux...
Le muet,
Lui se tait
Et pense avec gaieté
Au sourd, à l'aveugle.
Il se dit,
Qu'ils ont bien la chance d'être heureux!
Et, l'âme vidée,
Il s'endort à jamais.
Il est enfin heureux...
Poème envoyé par Adrien
(13 ans - 27 août 2003)
Je veux
Je veux, quand je m’ennuie,
jouer avec le soleil,
Et le soir, que la lune devienne couleur vermeille.
Je voudrais explorer un très grand nid d’abeilles,
Et ne manger que miel, confitures et groseilles.
Je veux rencontrer
Mars, et lui serrer la main,
Dire la fascination qu’ont pour elle les humains.
Mars est une planète, c’est donc au féminin,
J’explique pour les curieux, les moqueurs et malins.
Je veux dormir debout,
vivre quand je m’allonge,
Aussi voir l’avenir, dans mes multiples songes.
Je veux voir apparaître, devant moi, Diana,
Une princesse d’Angleterre qui, hélas, décéda.
C’est bien bon
de rêver, chaque minute, chaque heure,
Le monde ne serait pas, sans l’aide des rêveurs.
Continuez à rêver, ne vous arrêtez pas,
Car grâce à vous rêveurs, le monde évoluera.
Poème envoyé par Sarah
(11 ans - 5 mars 2003)
Le coeur
Le coeur et moi nous partageons les mêmes sentiments et
les mêmes rêves.
Le coeur est le seul a pouvoir m' aider.
Quand je suis triste c'est lui qui m'écoute et quand je
suis amoureuse c'est lui qui me conseil.
Le coeur et moi nous faisons qu'un !!!
Poème
envoyé par Mark
(16 février 2003)
L'école
Est une farendole
Le cour de français
A du succès
Celui de mathématique
Est comique
Les professeurs
Nous aident de bon coeur
les copains
Sont très malin
Nos institutrices
Sont pleines de malices
Je m'envole
Au revoir l'école.
Poème envoyé par Priscillia
(12 ans - 28 janvier 2003)
Douce neige
La neige tombe sur les toits des maisons
Elle tombe, sans raison
Des doux flocons blancs
Tombent par petits rangs
La ville a l'air propre
Et toutes les catastrophes
Fondent dans la misère
De la lisière...
la neige, la neige, la neige...
Poème envoyé par Janie
(11 ans - 8 janvier 2003)
Tout ou rien
j'ai tout sauf toi
donc je n'ai rien car tu es tout !
|
Poème envoyé par Morgane
(12 ans 1/2- 9 juin 2002)
A une chatte,
Chatte blanche, chatte
sans tâche,
Je te demande dans ces vers,
Quel secret dort dans tes yeux verts,
Quel sarcasme sous ta moustache.
Tu nous lorgne, pensent
tout bas
Que nos fronts pâles,que nos lèvres
Déteintes en de folles fièvres.
Que nos yeux ne valent pas
Ton museau que ton nez
termine,
Rose comme un bouton de sein,
Tes oreilles dont le dessin
Couronnent fièrement ta mine.
Pourquoi cette sérénité
?
Aurais-tu la clef des problèmes
Qui nous font frissonnants et blêmes,
Passer le printemps et l'été ?
Devant la mort qui nous
menace,
Chats et gens, ton flair plus subtil
Que notre savoir, te dit-il
Où va la beauté qui s'efface,
Où va la pensée, où s'en
vont
Les défuntes spendleurs charnelles ?... Chatte, détourne tes paupières,
J'y trouve trop de noir au fond.
Poème envoyé par Cléa
(12 ans - 13 mai 2002)
Un beau jour de mai,
Un beau jour de mai,
Alors que je rentrais d'école,
Un oiseau qui ne cessait de sautiller
Enfin s'envole.
Il se pose sur une branche
Et ne cesse de me regarder.
Ses plumes sont toutes blanches,
C'est à mon tour de le regarder.
Je m'approche de cet oiseau,
Qui s'envole vers moi.
Puis cet animal si beau,
Se pause sur mon doigt
Ensemble nous rentrons à la maison,
Où il va habiter.
C'est pour toute la saison,
Que nous allons cohabiter.
Poème envoyé par Aurélie
(13 ans - 5 mai 2002)
Tiers Monde en Faille
Dans leur pays ils
pleurent
De ne pouvoir manger à l'heure.
Ils sont de jeunes travailleurs,
Dès leur jeune age ils ont le malheur,
D'achever de trop grandes labeurs.
Ils sont tous de
bons farceurs
Et ce sont aussi de grands rieurs.
Ils ramassent des céréales et des fleurs.
Certains sont des
voyageurs,
Là bas ils espèrent une vie meilleure.
Ce sont de bons tisseurs,
Et d'excellents vendeurs.
Il y en a beaucoup qui meurent
Alors,il faut pour eux chanter en choeur.
Poème envoyé par Benjamin
(13 ans - 19 décembre 2002)
Lettre d'un coeur
meurti
Ô toi qui ne m’as jamais
aimé,
Ô toi qui m’a fait tant souffrir,
Regarde une dernière fois
le mal que tu m’as causé,
A cause de toi,
je n’ai plus de vrai sourire,
Regarde une dernière fois,
celui qui t’a aimé,
Et souviens toi de cet homme,
Que d’ailleurs tu as déjà oublié.
Dans son cœur,
le désespoir,
Dans sa tête,
la haine,
Car cela lui a fait,
m’a fait tant de peine,
Qu’à jamais il en gardera des rappels,
Qu’il n’a été que méprisé
Par l’amour qui ne l’avait pas épargné,
Et par toi qui s’en est toujours moqué.
Si j’avais du courage
et un poignard,
Je te l’enfoncerai dans le cœur,
Pour te faire connaître
Le prix de la douleur
Je t’aimais,
Tu ne m’as jamais aimé,
Je le sais,
Mais ce n’est finalement
pas bien grave,
La vie pourtant innocente
est pleine de méchancetés,
Mais ce n’est finalement
pas bien grave,
Même si je t’ai toujours aimé.
Poème envoyé par Charlotte
(24 mars 2001)
et dédicadé à Gaspard :-)
Je voudrais être une larme,
Pour naitre dans tes yeux,
Pour vivre sur ton visage,
Et mourrir sur tes lèvres.
Poèmes envoyés par Charlotte
(25 février 2001)
Amis pour la vie,
Nous étions
amis d'un jour,
Nous sommes devenus amis pour toujours,
Nous croyions que la vie nous séparerait,
Mais en fait, elle nous rapprochait.
Je n'ai souvenir de toi
que par des lettres,
Même si l'on se manque on ne laisse rien paraître,
Tu es plus qu'une vraie copine,
Tu fais partie de ma famille.
Je m'appelle Charlotte,
Au début tu m'appelais petite sotte,
Tu ressemblais à Esmeralda,
C'est la raison pour laquelle on t'appelait comme cela.
C'est à toi que
je dédis ce poème,
Et oui, c'est à toi Islem.
Couché de Soleil,
il ne fait pas tout à fait nuit,
Dans la ville de Paris,
Mais ce demi-cercle qui nous éclaire,
Ne nous laisse pas dire le contraire.
Qu'il est beau !
Qu'il est haut !
Et les gens qui se promènent,
Regardent ce phénomène.
Ce bijou d'argent et d'or,
Nous fais tous sortir dehors.
Poème envoyé par Orianne
(23 février 2001)
Dans ton coeur il y a un trésor,
Dans ce trésor l'amitié.
Que ferais-je loin de toi ?
Poème envoyé par Jeanne
(18 février 2001)
La Grenouille qui
voulait se faire aussi grosse que le boeuf,
Une grenouille vit un
boeuf,
Elle le trouva très balaise,
Elle était à peine aussi costaud qu'un oeuf,
Jalouse, s'étend et se grossit,
Et se torture pour égaler l'animal en grosseur.
Disant,
- regarde mon ami ; c'est assez ?
dis-moi, je n'y suis pas encore ?
- tu peux rêver !
- voila ?
- on dirait un pigeon !
- et maintenant ?
- pas du tout !
La grenouille obsédée,
s'enfla et éclata.
Le monde est plein de types qui ne sont pas plus sages,
Tout obèse a faim,
Tout riche veut du blé,
Tout pépé veut être ado.
Poème envoyé par Gaëlle
(18 février 2001)
Les papillons de la vie
Papillon de l'espoir,
S'épanouit dans le noir,
Papillon de la Joie,
S'éveille en moi,
Papillon de l'Avenir,
Devra t-il s'enfuir ?
En tous cas, le papillon de l'amour
Lui, sera là pour toujours !
Ainsi notre vie n'est qu'un ciel rempli de papillons, et celui
qui voudra changer ce rythme n'est pas de ce monde.
Poème envoyé par Pierre
(8 novembre 2000)
LA PAIX
Si les hommes cessaient la guerre,
Et devenaient frères,
Ils feraient une ronde,
Qui irait au bout du monde.
Malheureusement Kosovo
et Bosnie,
Sont devenus siège de meutreries,
Cela ne cessera donc jamais,
Il ne faut pas rêver la paix.
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Poème envoyé par Lucie
(13 ans - 5 mai 2002)
Tes yeux, mes diamants,
J'ai une étrange
manie
Qui est de fixer les gens dans les yeux
Au plus profond d'eux.
De faire ça, je n'avais aucun souci.
Puis un jour,
Ton regard à croisé le mien
Peut-être était ce l'amour ?
Ca, je n'en savais rien.
Dès que je te voyais
Je ne pouvais pas m'empêcher
D'essayer de me noyer,
De ton regard ne plus me détacher
Il faut dire que c'est
rare,
Des yeux jaunes et bleux
Je dirai même que c'est bizarre.
S'il te plait, dis moi
si tu m'aime
Te regarder, je ne peux m'en passer
Si ce sentiment n'est pas réciproque Pourras tu arrêter mon coeur
?
Poème envoyé par Katarina
(12 ans - 24 octobre 2001)
Bleu comme le ciel,
De ce dur été qui a tout brulé,
Jaune d'or comme les blés,
Qui seront bientôt coupés.
Poème envoyé par 'Petite Bulle'
(13 ans - 21 octobre 2001)
Je t'aime toi,
Parceque j'aime ton sourire
Et ta façon de rire.
Je t'aime toi,
Parceque j'aime tes drôles d'idées
Et tes plans pour les réaliser.
Je t'aime toi,
Parceque j'aime ta naïveté
Et ton goût de t'amuser.
Mais ce que j'aime le
plus en toi,
C'est toi,
Rien d'autre,
Seulement toi.
Poème envoyé par Sareeta
(6 mai 2001)
Il m'a fallu une seconde
pour t'aimer,
Et il me faudra toute une vie pour t'oublier,
Et pourtant tout peut changer,
Par un seul de tes baisers,
Mais pour toi, tout cela ne veut rien dire,
Et moi tu me fais souffrir,
Un jour tu pars, un jour tu reviens,
Que faire pour te retenir ?
Je t'aime et c'est pour la vie.
Poème envoyé par Elise
(4 mars 2001)
Les Fantômes,
Il existe des sorcières,
Qui ne sont pas très fières,
Quand leur balai ne vole plus.
Il existe des squelettes,
Qui n'aiment pas l'omelette,
Ni le pain perdu.
C'est pourquoi je préfère,
En été ou en hiver,
Les fantômes d'un blanc neige,
D'un blanc pas du tout beige.
Les fantômes sont les meilleurs,
Arrivent toujours à l'heure.
C'est pourquoi je les préfère,
En été ou en hiver.
Poèmes envoyés par Alice
(21 février 2001)
Le Cheval Roi
Le plus bel animal de tous les temps,
Le plus brillant au Printemps,
Le plus gai en été,
Vous l'avez deviné,
Celui qui galopait dans les prés.
C'est le cheval qui cavale
dans les prés toute la journée,
Pour se faire admirer.
Les juments de son enclos s'enfuient et partent au trot,
Souvent dans les légendes,
Ils s'envolent par le vent,
Etendant leurs ailes royalement.
Entendez-vous ce petit
ruissellement sous les sifflements ?
C'est la Montcient,
Qui appelle les chevaux fringants tous le temps.
Quand je serai grande
Pour moi dans l'Avenir,
Il y a de l'espoir,
J'ai envie de grandir,
De faire des pique-nique,
L'été près des oliviers,
Ou courir et rire avec mes enfants,
Dans les champs de blé,
Qui se couchent sous le vent,
J'ai envie de rêver,
De m'envoler,
Sur un cheval ailé,
Près des nuages.
Mais j'ai aussi envie
de bien vivre ma vie d'enfant.
Poème envoyé par Jeanne
(28 février 2001)
Poulain-Peluche,
Le poulain
qui trotte si légèrement
Le poulain noir et brun comme l'écorce
Le poulain si rieur le poulain si joueur
Le poulain qui galope dans le pré
Le poulain qui rencontre la jument
Le poulain qui rencontre le cheval
Le poulain qui se couche
Le poulain qui s'assoupit
Le poulain qui rêve,
Le poulain qui devient étalon
Le cheval noir et brun comme l'écorce
Le cheval qui trotte si légèrement
Ce sont tes yeux ma jolie peluche
Ces yeux qui passent
et repassent si tendrement
Quand je suis dans mon lit douillet.
Poème envoyé par Marilène
(21 janvier 2001)
Un jour, il faudra bien
Un jour ou l'autre,
Il faudra bien,
Que les fusils s'éteignent,
Que les soldats rebroussent chemin.
Un jour ou l'autre,
Il faudra bien,
Que le bonheur soit maître,
Que les gens soient repeints.
Ce jour ou l'autre,
Il le faudra bien.
Nous sortirons main dans la main,
Pour annoncer au monde entier,
La Paix et la prospérité.
Poème envoyé par François
(mai 2000)
A LUCIEN
Comme tu n'étais pas grand
Tes parents ne t'ont pas appelé Armand
Comme tu n'étais pas petit
Tes parents ne t'ont pas appelé Louis
Comme tu n'étais pas gros
Tes parents ne t'ont pas appelé Arnaud
Comme tu n'étais pas maigre
Tes parents ne t'ont pas appelé Alfred
Mais comme tu es quelqu'un de bien
Tes parents t'ont appelé LUCIEN
Et moi je trouve que
ça te va bien
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